L'hypothyroïdie
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L'hypothyroïdie

Publié par topclinique topclinique   | Il ya 6 ans   | 1142

L'hypothyroïdie est la conséquence d'une production d'hormonesinsuffisante par la glande thyroïde, cet organe en forme de papillon situé à la base du cou, sous la pomme d'Adam. Les personnes les plus atteintes par cette affection sont les femmes après 50 ans.

L'influence de la glande thyroïde sur l'organisme est majeure : son rôle est de réguler le métabolisme de base des cellules de notre corps. Elle contrôle la dépense énergétique, le poids, le rythme cardiaque, l’énergie musculaire, l’humeur, la concentration, la température du corps, la digestion, etc. Elle détermine ainsi l’intensité de l’énergie faisant fonctionner nos cellules et organes. Chez les personnes présentant une hypothyroïdie, cette énergie fonctionne au ralenti.

 

 

Au repos, l’organisme consomme de l’énergie pour maintenir en activité ses fonctions vitales : circulation sanguine, fonctionnement du cerveau, respiration, digestion, maintien de la température du corps. C’est ce qu’on appelle le métabolisme de base, qui est en partie contrôlé par les hormones thyroïdiennes. La quantité d’énergie dépensée varie d’un individu à l’autre selon la taille, le poids, l’âge, le sexe et l’activité de la glande thyroïde.

Au Canada, environ 1 % des adultes souffrent d'hypothyroïdie, les femmes étant 2 à 8 fois plus touchées que les hommes. La prévalence de la maladie augmente avec l’âge, pour atteindre plus de 10 % après 60 ans14. En France, 3,3% des femmes et 1,9 % des hommes sont touchés par l’hypothyroïdie (source : HAS : synthèse des recommandations professionnelles 2007).

L’hypothyroïdie congénitale ou néonatale

Chez environ 1 bébé sur 4 000, l’hypothyroïdie est présente dès la naissance, en raison d’une malformation ou d’un dysfonctionnement de la glande thyroïde. Si elle n’est pas traitée, l’hypothyroïdie congénitale a des conséquences graves sur le développement physique et mental de l’enfant. Heureusement, en France, au Canada comme dans les autres pays développés, cette maladie est systématiquement dépistée chez tous les nouveau-nés, grâce à un test sanguin mis au point au milieu des années 1970 par des chercheurs canadiens. Ce dépistage permet d’instaurer un traitement dès les premiers jours de vie pour prévenir les conséquences de la maladie1.

Les hormones thyroïdiennes sous contrôle

Les 2 principales hormones sécrétées par la thyroïde sont la T3 (triiodothyronine) et la T4 (tétra-iodothyronine ou thyroxine). Toutes deux comprennent le terme « iodo », car l’iode est un de leur composant, indispensable à leur production. La quantité d’hormones produites est sous le contrôle d'autres glandes, situées dans le cerveau : l’hypothalamus et l’hypophyse. L'hypothalamus commande à l'hypophyse de produire l'hormone TSH (pour thyroid stimulating hormone). À son tour, l’hormone TSH stimule la thyroïde pour qu’elle produise les hormones thyroïdiennes, dont la T3 et la T4.

On peut détecter une hypoactivité ou une hyperactivité de la glande thyroïde par une prise de sang permettant de mesurer le taux de TSH dans le sang. En cas d’hypothyroïdie, le taux de TSH est élevé, car l’hypophyse réagit au manque d’hormones thyroïdiennes (T3 et T4) en sécrétant davantage de TSH. Par ce moyen, l’hypophyse tente de stimuler la thyroïde pour qu’elle produise plus d’hormones. En situation d’hyperthyroïdie (lorsqu'il y a trop d’hormones thyroïdiennes), l’inverse se produit : le taux de TSH est bas parce que l’hypophyse perçoit l’excès d’hormones thyroïdiennes dans le sang et cesse de stimuler la glande thyroïde. Même au tout début d’un problème thyroïdien, le taux de TSH est souvent anormal.

Causes

Avant les années 1920, la carence en iode était la principale cause d'hypothyroïdie. L’iode est un oligoélément minéral nécessaire à la vie et à la production des hormones thyroïdiennes T3 et T4. Depuis qu'on ajoute de l'iode au sel de table - pratique née au Michigan en 1924 en raison des nombreux cas d'hypothyroïdie -, cette carence est rare dans les pays industrialisés. Cependant, selon des estimations de l’Organisation mondiale de la Santé, près de?2 milliards d’individus sont encore à risque de carence en iode12. Cela reste la 1re cause d’hypothyroïdie dans le monde. Dans les pays industrialisés où l’on demande aux populations de limiter les apports en sel, risquent peut-être de réapparaître des carences en iode.

De nos jours, les principales causes d'hypothyroïdie dans les pays industrialisés sont les suivantes :

  • Une thyroïdite de Hashimoto. Cette maladie auto-immune provoque la destruction de la glande thyroïde par le système immunitaire. Les scientifiques ne peuvent expliquer ce qui déclenche cette maladie. Elle apparaîtrait parfois à la suite d’un stress ou d’une infection virale, chez des personnes qui y seraient prédisposées.
  • Un traitement qui altère la glande thyroïde. Un traitement à l'iode radioactif pour soigner une hyperthyroïdie ou une chirurgie pour enlever la glande thyroïde (en raison d'un nodule, d'une tumeur ou d'un cancer à la thyroïde) engendre une hypothyroïdie permanente dans environ 80 % des cas. Aussi, un traitement de radiothérapie au cou cause une hypothyroïdie passagère dans environ 50 % des cas, et une hypothyroïdie permanente dans environ 25 % des cas.
  • Une thyroïdite post-partum. Chez 8 à 10 % des femmes, une réaction auto-immune contre la thyroïde peut se déclencher quelques semaines à quelques mois après l’accouchement15. On parle alors de thyroïdite « post-partum ». Dans 40 % des cas, cette thyroïdite entraîne une hypothyroïdie, dont les symptômes sont plus ou moins marqués. Ils sont le plus souvent transitoires.

D’autres causes plus rares
- Certains médicaments. Le lithium, par exemple, utilisé contre certains troubles psychiatriques, ou l’amiodarone (médicament contenant de l'iode), prescrit contre les troubles du rythme cardiaque, peuvent entraîner une hypothyroïdie.
- Une anomalie congénitale de la glande thyroïde, c’est-à-dire présente dès la naissance. Il arrive que la glande ne se développe pas normalement, ou encore qu’elle fonctionne mal. Dans ce cas, l’hypothyroïdie est dépistée quelques jours après la naissance grâce au test sanguin systématique.
- Un mauvais fonctionnement de l'hypophyse, la glande qui régule la thyroïde par l'hormone TSH (représente moins de 1 % des cas).
- Une infection bactérienne ou virale à la glande thyroïde.
- Voir les sections Personnes à risque et Facteurs de risque.

Complications possibles

Non traitée, la maladie peut avoir des conséquences graves à long terme. Chez l'adulte, unmyxoedème, une forme grave d'hypothyroïdie, peut survenir. Les symptômes du myxoedème sont un visage bouffi, une coloration jaune et une sécheresse de la peau, qui semble épaissie. Dans les cas graves, certaines conditions (une infection, le froid, un traumatisme, une chirurgie, etc.) peuvent entraîner une perte de conscience ou un coma « myxoedémateux ». En outre, des études laissent croire que les personnes en état d’hypothyroïdie depuis plusieurs années sont plus à risque de maladies cardiovasculaires.

Chez l'enfant non traité, on observe des retards importants de croissance et de développement intellectuel irréversibles, appelés communément crétinisme. Un traitement adéquat entrepris rapidement permet généralement d'éviter les complications et les séquelles.​

Les symptômes de l’hypothyroïdie

Les symptômes de l'hypothyroïdie sont liés au ralentissement du métabolisme. Ils dépendent de l'importance du déficit en hormones thyroïdiennes et apparaissent souvent de manière très progressive. Certaines personnes ne présentent aucun symptôme; seul le bilan sanguin permet alors d'établir un diagnostic.

Chez l'adulte

  • Un manque d'énergie et de la fatigue.
  • Une frilosité.
  • Un gain de poids inexpliqué malgré un faible appétit.
  • Un rythme cardiaque ralenti pouvant causer un essoufflement.
  • Une irritabilité et parfois un état dépressif.
  • Des crampes, des raideurs musculaires et des douleurs aux articulations.
  • De la constipation.
  • Le visage et les yeux gonflés.
  • Une peau pâle et sèche.
  • Des cheveux secs, une perte de cheveux.
  • Des ongles cassants.
  • Une voix plus grave et enrouée.
  • Des cycles menstruels irréguliers, plus longs, voire absents et des menstruations plus abondantes.
  • Une infertilité.
  • Une confusion, une difficulté à se concentrer et des pertes de mémoire, surtout chez les personnes âgées.
  • Un goitre (parfois), c’est-à-dire un gonflement à la base du cou dû à l’augmentation de volume de la thyroïde.
  • Un taux élevé de cholestérol sanguin.

Chez l'enfant à la naissance (en cas d'hypothyroïdie congénitale)

  • Petite taille de naissance, inférieure à la normale avec poids normal ou élevé.
  • ictère (ou jaunisse, coloration jaune de la peau) néonatal de plus de 8 jours.
  • Persistance du lanugo (poils fins des bébés à la naissance)
  • Cernes bleus autours des yeux et des narines,
  • Elargissement des fontanelles.
  • Constipation
  • Manque d’appétit, troubles de la succion,
  • Grosse langue,
  • Cris anormalement rauques,
  • Hypotonie musculaire,
  • Somnolence,
  • Peu de pleurs,
  • Peau sèche,
  • Retard des acquisitions psychomotrices décelable dès le troisième mois.

Chez l'enfant plus grand si hypothyroïdie plus tardive

Les signes ressemblent à ceux de l’adulte, avec en plus :

  • Un retard statural de croissance,
  • Gros volume musculaire notamment au niveau des mollets,
  • Baisse de résultats scolaires.

Les personnes à risque et les facteurs de risque de l'hypothyroïdie

Personnes à risque

  • Les femmes âgées de plus de 50 ans.
  • Les personnes qui ont des antécédents personnels ou familiaux de maladie de la thyroïde ou de maladie auto-immune (diabète de type 1, maladie coeliaque, l’arthrite rhumatoïde, etc.).
  • Les femmes qui ont enfanté au cours de l’année.

Facteurs de risque

  • Le tabagisme durant l’allaitement est à risque pour l'enfant. Il est possible que le tabagisme de la mère diminue la quantité d’iode passant dans le lait maternel, ce qui pourrait affecter la fonction thyroïdienne de son bébé2.
  • Des carences nutritionnelles, particulièrement en iode, en sélénium et en zinc.
  • Un excès d’iode. À titre d’exemple, au Japon, où la consommation d’algues est élevée, l’excès d’iode est une cause fréquente d’hypothyroïdie3.
  • La prise de certains médicaments, comme le lithium, l’amiodarone ou des médicaments permettant de traiter l’hyperthyroïdie. Les traitements à base d’iode radioactif, une chirurgie ou une radiothérapie de la thyroïde sont également d’importants facteurs de risque d’hypothyroïdie.
  • Une consommation très abondante d’aliments goitrogènes. Certains aliments, lorsqu’ils sont consommés en très grande quantité, inhibent la captation de l’iode par la glande thyroïde, ce qui empêche la fabrication normale des hormones thyroïdiennes. On les appelle aliments goitrogènes, car ils peuvent à terme causer un goitre. Les aliments goitrogènes sont les crucifères (le chou de Bruxelles, le chou, le chou-fleur, le brocoli, le chou frisé, les feuilles de moutarde, le rutabaga, le radis, le raifort, etc.), le manioc, les patates douces, les graines de soya, les arachides et le millet. Cette situation survient très rarement dans les pays industrialisés, car les gens ont accès à une grande variété d’aliments4. Dans certaines régions d’Afrique, en revanche, le manioc est un aliment de base. Il y est considéré comme une des causes majeures de goitre. Généralement, la cuisson lui enlève cet effet goitrogène.

La prévention de l’hypothyroïdie

Peut-on prévenir?

Actuellement, on ignore comment prévenir la plupart des cas d'hypothyroïdie qui surviennent dans les pays industrialisés. Tout de même, un diagnostic précoce et unealimentation qui fournit tous les nutriments essentiels au bon fonctionnement de la glande thyroïde contribuent à prévenir l’exacerbation des symptômes et l'aggravation de la maladie.

Ailleurs dans le monde, la prévention est possible dans les cas où des carences nutritionnelles (surtout en iode, en sélénium ou en zinc), ou encore un excès en iode, sont la cause de l’hypothyroïdie.

Mesures de dépistage

Un test de dépistage de l’hypothyroïdie congénitale est effectué à l’hôpital chez tous les nouveau-nés, dans les pays industrialisés. Des échantillons de sang sont prélevés au talon sur un papier filtre, de 3 à 6 jours après la naissance idéalement. On mesure d’abord le taux d’hormone TSH, puis le taux d’hormone T4 dans les cas limites. Les études indiquent que ce dépistage précoce permet de traiter rapidement la maladie et d’en prévenir les conséquences, comme le retard mental et le retard de croissance5.

Chez l’adulte, les bénéfices du dépistage n’ont pas été démontrés. Par conséquent, les groupes d’études canadien et américain de médecine préventive ne recommandent pas un dépistage universel. Cependant, plusieurs associations médicales recommandent de mesurer périodiquement le taux d’hormone TSH dans le sang chez les personnes à risque (prise de médicament à risque ou antécédents familiaux d'hypothyroïdie) et chez celles qui présentent des symptômes d’hypothyroïdie.

Mesures préventives de base

Alimentation

Pour produire des hormones thyroïdiennes, la thyroïde a besoin d’une quantité suffisante d’oligoéléments, plus particulièrement d’iode, de sélénium et de zinc. Une carence en l’un de ces éléments peut ralentir le fonctionnement de la thyroïde. La carence en iode est plutôt rare dans les pays industrialisés en raison de l'usage de sel de table iodé. Une alimentation saine et variée fournit tous ces oligoéléments. En 2007, d’après l’Organisation mondiale de la Santé, les carences en iode, bien que moins fréquentes qu’auparavant, demeuraient un problème de santé publique dans 47 pays6. En cas de doute, faire les tests de laboratoire pour déceler le ou les déficits en nutriments et les combler pour rétablir la fonction.

Voici quelques bonnes sources alimentaires :
- d’iode : les poissons de mer (anchois, dorade, maquereau, morue, sardine, etc.), les algues et le sel de table.
- de sélénium : les noix du Brésil, les huîtres et le thon.
- de zinc : les fruits de mer (les huîtres en tête de liste), le boeuf et le foie de veau, de boeuf ou de porc.
Pour connaître d’autres sources de sélénium ou de zinc, consultez nos fiches correspondantes.

Besoins quotidiens en iode. Chez l’adulte, un apport quotidien de 150 µg par jour est recommandé. Les besoins s’élèvent à 200 µg par jour chez les femmes enceintes ou qui allaitent. Afin de ne pas excéder l’apport quotidien recommandé, l’Organisation mondiale de la Santé recommande de consommer un maximum de 5 g de sel de table iodé par jour, ce qui correspond à environ 1 c. à thé de sel par jour13. Cette quantité de sel fournit de 50 µg à 75 µg d’iode par jour.

Mesures pour prévenir l’aggravation

Chez les personnes ayant un problème de fonctionnement de la thyroïde, il est possible qu’un excès d’iode aggrave la maladie et interfère avec le traitement. Il est difficile de quantifier ce qui représente une consommation excessive d’iode. Celle-ci dépend de la quantité d’iode consommée habituellement et varie beaucoup d’une région à l’autre du monde. D’après l’Organisation mondiale de la Santé, une consommation ne dépassant pas 1 000 µg (l’équivalent de 1 mg) d’iode par jour est considérée comme sécuritaire13.

Plusieurs produits naturels destinés au traitement des maladies de la thyroïde sont riches en iode (teinture d’iode, suppléments iodés à base d’algues, etc.). Par mesure de précaution, leur usage devrait être réservé aux personnes qui ont une carence en iode (ce qui est rare). Consultez un médecin ou un professionnel de la santé compétent en nutrition avant de consommer un tel produit.

Mesures pour prévenir les complications

Prendre quotidiennement le traitement prescrit et consulter votre médecin régulièrement pour vous assurer que le dosage du traitement reste adapté.

Les traitements médicaux de l’hypothyroïdie

L'hypothyroïdie est une maladie qui ne se guérit pas, mais se contrôle très bien en prenant quotidiennement des hormones thyroïdiennes de remplacement (ou de substitution). L’apport d’hormones permet de compenser le mauvais fonctionnement de la thyroïde et de rétablir un métabolisme normal.

L’hormone de synthèse la plus prescrite est la thyroxine (T4) sous forme de lévothyroxine sodique en comprimé (Levothyrox®, Novothyral®, Levothyroid® ou Synthroid®). La majorité des personnes devront en prendre quotidiennement durant toute leur vie. Ce médicamentcorrige les symptômes de l'hypothyroïdie chez les adultes en quelques semaines. Chez les personnes âgées ou celles qui ont des problèmes cardiaques, le délai peut être plus important, car les doses sont augmentées très progressivement pour ménager le coeur.

Dans le corps, une partie des hormones T4 est transformée en triiodothyronine (T3). Il n’est donc généralement pas nécessaire de prendre un traitement par T3 en plus de la lévothyroxine. Exceptionnellement, le médecin peut toutefois prescrire de la T3 en association à la T4, habituellement pour un traitement temporaire.

Un suivi médical (comprenant un test sanguin) a lieu généralement quelques mois après le début du traitement, puis chaque année ou en cas de signes d’hypo ou d’hyperthyroïdie. Il permet de vérifier que la dose administrée convient toujours aux besoins de l'organisme. Les besoins en hormones thyroïdiennes peuvent varier selon l'âge, l’évolution de la maladie et d'autres facteurs, comme une grossesse.

Dans le cas où un taux de cholestérol sanguin élevé est attribuable à l’hypothyroïdie, celui-ci revient à la normale une fois l’hypothyroïdie contrôlée.

Comment prendre les médicaments

  • Prendre le médicament chaque jour, à la même heure.
  • Prendre le médicament toujours de la même manière, avec ou sans nourriture, afin d'obtenir un apport constant en hormones.
  • Éviter de le prendre avec des produits contenant du lait de soya, puisque le soya diminue l'absorption de la thyroxine. L'eau, le lait de vache ou le jus d'orange sont recommandés.
  • On recommande d'attendre 4 heures avant d'ingérer les produits suivants, qui interfèrent avec l'absorption de la thyroxine4,7 :
    - les produits qui contiennent du soya;
    - les suppléments de calcium, de fer ou les antiacides qui contiennent du calcium ou de l'hydroxyde d'aluminium.

Références

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Bibliographie

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Blumenthal M, Goldberg A, Brinckmann J (Ed). Expanded Commission E Monographs, American Botanical Council, publié en collaboration avec Integrative Medicine Communications, États-Unis, 2000.
CEA/Dcom. Sciences, Dossiers - La consommation d’iode, CEA. [Consulté le 10 mai 2006]. www.cea.fr
Ernst E (Ed). The Complete Book of Symptoms and Treatments, Element Books Limited, Angleterre, 1998.
Groupe d’étude canadien sur l’examen médical périodique. Guide canadien de médecine clinique préventive, Santé Canada, Canada, 1994.
Mayo Foundation for Medical Education and Research (Ed). Diseases & Conditions - Hypothyroidism, MayoClinic.com. [Consulté le 29 avril 2010]. www.mayoclinic.com
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Organisation mondiale de la santé. Demander à l’expert - La carence en iode peut-elle réellement provoquer des lésions cérébrales?, OMS. [Consulté le 29 avril 2010]. www.who.int
Pizzorno JE Jr, Murray Michael T (Ed). Textbook of Natural Medicine, Churchill Livingstone, États-Unis, 2006.
The Natural Pharmacist (Ed). Drug interactions - Thyroid hormone, et Conditions - Hypothyroidism, ConsumerLab.com. [Consulté le 29 avril 2010]. www.consumerlab.com