L’apnée du sommeil se manifeste par des arrêts involontaires de la respiration, les « apnées », se produisant durant le sommeil. L’apnée du sommeil survient en général chez les personnes en surpoids, âgées ou qui ronflent de façon importante.
Ces pauses respiratoires durent par définition plus de 10 secondes (et peuvent atteindre plus de 30 secondes). Elles se produisent plusieurs fois par nuit, à une fréquence variable. Les médecins considèrent qu’elles sont problématiques lorsqu’il y en a plus de 5 par heure. Dans les cas graves, elles surviennent jusqu’à plus de 30 fois par heure.
Ces apnées perturbent le sommeil et se traduisent principalement par une fatigue au réveil, desmaux de tête ou une somnolence pendant la journée.
Si la majorité des personnes souffrant d’apnée du sommeil ronflent bruyamment, il ne faut pas confondre ronflement et apnées. Le ronflement n’est pas considéré comme un problème de santé en soi et ne s’accompagne que rarement de pauses respiratoires. Les chercheurs estiment que de 30 % à 45 % des adultes sont des ronfleurs réguliers. Consulter notre fiche Ronflement pour en savoir plus.
Causes
Dans la majorité des cas, les apnées sont dues à un relâchement de la langue et des muscles de la gorge, qui ne sont pas assez toniques et bloquent le passage de l’air lors de la respiration. Ainsi, la personne tente de respirer, mais l’air ne circule pas à cause de l’obstruction des voies respiratoires. C’est pourquoi les médecins parlent d’apnées obstructives, ou de syndrome d’apnées obstructives du sommeil (SAOS). Ce relâchement excessif concerne surtout les personnes âgées, dont les muscles sont moins toniques. Les personnes obèses sont également plus sujettes à l’apnée du sommeil, car l’excès de graisse au cou diminue le calibre des voies respiratoires.
Plus rarement, les apnées sont dues à un mauvais fonctionnement du cerveau, qui cesse d’envoyer « l’ordre » de respirer aux muscles respiratoires. Dans ce cas, contrairement aux apnées obstructives, la personne ne fait pas d’effort respiratoire. On parle alors d’apnée du sommeil centrale. Ce type d’apnée survient surtout chez les personnes atteintes d’une affection grave, comme une maladie cardiaque (insuffisance cardiaque) ou une maladie neurologique (par exemple, méningite, maladie de Parkinson…). Elles peuvent également apparaître après un accident vasculaire cérébral ou dans les cas d’obésité très importante. L’usage de somnifères, de narcotiques ou d’alcool est également un facteur de risque.
De nombreuses personnes présentent une apnée du sommeil « mixte », avec une alternance d’apnées obstructives et centrales.
Prévalence
La fréquence de l’apnée du sommeil est très élevée : elle est comparable à celle d’autres maladies chroniques comme l’asthme ou le diabète de type 2. L’apnée du sommeil peut toucher les adultes et les enfants, mais sa fréquence augmente fortement avec l’âge.
Elle est de 2 à 4 fois plus fréquente chez les hommes que chez les femmes, avant 60 ans. Après cet âge, la fréquence est la même chez les 2 sexes6.
L’estimation de la prévalence varie en fonction du degré de gravité pris en compte (nombre d’apnées par heure, mesuré par l’index d’apnée-hypopnée ou AHI). Certaines études menées en Amérique du Nord évaluent la fréquence de l’apnée obstructive du sommeil (plus de 5 apnées par heure) à 24 % chez les hommes et à 9 % chez les femmes. Environ 9 % des hommes et 4 % des femmes présenteraient une forme modérée à grave de syndrome d’apnées obstructives du sommeil1,2.
Complications possibles
À court terme, l’apnée du sommeil entraîne de la fatigue, des maux de tête, de l’irritabilité... Elle peut aussi incommoder le conjoint, car elle s’accompagne souvent de ronflements sonores.
À long terme, si elle n’est pas traitée, l’apnée du sommeil a de nombreuses conséquences sur la santé :
Maladies cardiovasculaires. L’apnée du sommeil augmente de façon importante le risque de maladie cardiovasculaire, par des mécanismes qui ne sont pas entièrement décodés. On sait toutefois que chaque pause respiratoire entraîne un déficit d’oxygénation du cerveau (hypoxie), et que chaque micro-réveil brutal provoque une augmentation de la pression artérielle et du rythme cardiaque. À long terme, les apnées sont associées à un risque accru de problèmes cardiovasculaires, tels que : hypertension, accident vasculaire cérébral, infarctus du myocarde (crise cardiaque), troubles du rythme cardiaque (arythmie cardiaque) et insuffisance cardiaque. Enfin, en cas d’apnée importante, le risque de mourir subitement pendant son sommeil est accru.
Dépression. Le manque de sommeil, la fatigue, le besoin de faire des siestes et la somnolence sont associés aux apnées du sommeil. Ils diminuent la qualité de vie des personnes atteintes, qui souffrent souvent de dépression et d’isolement. Une étude récente a même montré un lien entre apnée du sommeil et troubles cognitifs chez les femmes âgées5.
Accidents. Le manque de sommeil induit par les apnées augmente le risque d’accident, en particulier d’accident du travail et de la route. Les personnes atteintes de syndrome d’apnées obstructives du sommeil ont de 2 à 7 fois plus de risque d’être victimes d’un accident de la circulation2.
Complications en cas de chirurgie. L’apnée du sommeil, surtout si elle n’est pas encore diagnostiquée, peut être un facteur de risque en cas d’anesthésie générale. En effet, les anesthésiques peuvent accentuer le relâchement des muscles de la gorge et donc aggraver les apnées. Les médicaments antidouleur administrés après les interventions chirurgicales peuvent également augmenter le risque d’apnées graves3. Il est donc important d’informer votre chirurgien si vous souffrez d’apnée du sommeil.
Quand consulter
Les médecins pensent que la grande majorité des personnes souffrant d’apnée du sommeil ne le savent pas. Le plus souvent, c’est le conjoint qui remarque la présence d’apnées et de ronflements. Il est conseillé de consulter un médecin si :
- vos ronflements sont sonores et perturbent le sommeil de votre conjoint ;
- vous vous réveillez souvent la nuit en ayant l’impression de mal respirer ou si vous allez aux toilettes plusieurs fois par nuit ;
- votre conjoint remarque des arrêts respiratoires pendant que vous dormez ;
- vous vous sentez fatigué dès le matin et vous vous endormez fréquemment pendant la journée. Le test de somnolence d'Epworth permet de mesurer le degré de somnolence durant la journée.
Votre médecin pourra vous diriger vers un centre spécialisé dans l’étude du sommeil. Dans ce cas, un examen appelé polysomnographie sera réalisé. Cet examen permet d’étudier les différentes phases du sommeil et de mesurer plusieurs paramètres pour détecter les apnées du sommeil et évaluer leur gravité. En pratique, il faut passer une nuit à l’hôpital ou dans un centre spécialisé. Des électrodes sont placées à différents endroits sur le corps afin d’observer des paramètres comme l’activité du cerveau ou des muscles, le taux d’oxygène dans le sang (pour s’assurer que la respiration est efficace) et les différentes phases de sommeil. Cela permet de savoir si la personne entre en phase de sommeil profond ou si les apnées l’en empêchent.
Les symptômes
En général, les personnes souffrant d’apnée du sommeil ne s’aperçoivent pas qu’elles font des pauses respiratoires pendant la nuit. Cependant, les apnées provoquent des « micro-réveils » qui altèrent la qualité du sommeil. Les symptômes les plus fréquents sont donc ceux qui résultent d’un sommeil fragmenté et de mauvaise qualité.
- Une fatigue importante pendant la journée et dès le réveil ;
- Une somnolence et des endormissements fréquents et incontrôlés (devant la télévision, au travail, au volant…) ;
- Des ronflements importants ;
- Des maux de tête au réveil ;
- Une irritabilité, un sentiment dépressif ;
- Des troubles de la mémoire ;
- Une baisse des résultats scolaires chez les enfants concernés ;
- Une sensation d’étouffer ou de suffoquer la nuit.
Les personnes et facteurs de risque
Personnes à risque
Plusieurs facteurs augmentent le risque d’apnée du sommeil :
- L’obésité. C’est le principal facteur de risque d’apnées obstructives du sommeil, notamment parce que l’excès de graisse au cou entraîne un rétrécissement des voies respiratoires. L’obésité augmente d’environ 7 fois le risque d’apnée du sommeil ;
- L’âge. La fréquence du syndrome d’apnée du sommeil est double ou triple après l’âge de 65 ans ;
- Le sexe. Les hommes sont de 2 à 3 fois plus atteints que les femmes ;
- L’origine ethnique. Les Afro-Américains et les Asiatiques ont un risque plus élevé d’apnée du sommeil2 ;
- Certaines anomalies des voies respiratoires ou des mâchoires. Chez certaines personnes, les voies respiratoires sont trop étroites ou les amygdales (ganglions au fond de la gorge) sont trop grosses et gênent le passage de l’air. C’est souvent le cas chez les enfants souffrant de syndrome d’apnées obstructives du sommeil. Une anomalie des mâchoires peut aussi rendre le passage de l’air plus difficile. Ces anomalies peuvent s’accompagner de ronflements ;
- Des facteurs génétiques. Dans certaines familles, le syndrome d’apnées obstructives du sommeil est très fréquent, en raison d’une susceptibilité génétique. Le risque de souffrir d’apnée du sommeil est multiplié par 2 à 4 chez les parents proches d’une personne atteinte de syndrome d’apnées obstructives du sommeil ;
- La circonférence du cou. Plus le cou est large (plus de 43 cm ou 17 pouces de circonférence chez l’homme, plus de 40 cm ou 16 pouces chez la femme), plus le risque d’apnée est élevé.
Facteurs de risque
- L’obstruction nasale. Les personnes ayant souvent le nez bouché, par exemple en raison d’allergies, sont plus sujettes aux apnées du sommeil ;
- La consommation d’alcool. L’alcool entraîne un relâchement des muscles de la gorge qui augmente la fréquence et la durée des apnées du sommeil ;
- Certains médicaments, comme les somnifères, les relaxants musculaires ou les anxiolytiques, aggravent les apnées pour les mêmes raisons que l’alcool ;
- Le tabagisme. Le tabagisme augmente le risque de syndrome d’apnées obstructives du sommeil, probablement parce qu’il entraîne une inflammation des voies respiratoires. Les fumeurs sont 2,5 fois plus susceptibles de souffrir d’apnées du sommeil que les non-fumeurs2 ;
- Le diabète de type 2. Le diabète de type 2 est associé à un risque élevé d’apnées du sommeil, pour des raisons encore mal comprises, mais souvent en lien avec l’obésité. Chez les diabétiques, la prévalence du syndrome d’apnées obstructives du sommeil peut atteindre 23 %4.
La prévention
Peut-on prévenir?
L’obésité étant le principal facteur de risque d’apnée du sommeil, le fait de conserver un poids santé en adoptant une alimentation équilibrée et en pratiquant une activité physique régulière est une mesure de prévention efficace.
La lutte contre le diabète permet également de limiter le risque de survenue d’apnées obstructives du sommeil. Enfin, si vous souffrez d’hypertension, il est important de prendre régulièrement vos médicaments, pour réduire le risque global de maladie cardiovasculaire.
Mesures pour prévenir l’aggravation
Si vous souffrez d’apnée du sommeil, vous pouvez améliorer la qualité de votre sommeil et réduire vos symptômes en adoptant des mesures d’hygiène de vie simples. Ces mesures permettent parfois de faire disparaître les apnées dans les cas légers :
- Perdre du poids. Si vous êtes en surpoids, la perte de quelques kilos suffit souvent à améliorer la qualité de votre sommeil. Ainsi, une perte de 10 % du poids réduit de 26 % la gravité (fréquence et durée) des apnées2 ;
- Dormir sur le côté. Pour des raisons anatomiques, le rétrécissement des voies respiratoires est maximal lorsque vous dormez sur le dos. Le fait de dormir sur le côté permet souvent de réduire les apnées du sommeil. Il existe des pyjamas spéciaux (avec une balle cousue dans le dos) qui empêchent le dormeur de se remettre sur le dos pendant la nuit ;
- Surélever le lit. Vous pouvez surélever la tête du lit de quelques centimètres, pour avoir le cou et le torse légèrement inclinés pendant la nuit (par exemple, en mettant des cales sous les pattes du lit). Cela facilite l’ouverture des voies respiratoires et peut être efficace en cas d’apnées légères ;
- Éviter les somnifères et l’alcool. Lorsqu’on dort mal, il est tentant d’avoir recours aux somnifères. Or, ceux-ci augmentent le relâchement des muscles de la gorge et de la langue et ont pour conséquence d’aggraver les apnées. De même, l’alcool est à consommer avec modération ;
- Cesser de fumer. Le tabac aggrave les apnées en créant une inflammation des voies respiratoires et un relâchement des muscles qui maintiennent ces voies ouvertes. En outre, le tabac augmente le risque de problèmes cardiovasculaires. Il est donc indispensable d’arrêter de fumer. N’hésitez pas à demander de l’aide à votre médecin ;
- Soigner vos allergies. La congestion nasale gêne la respiration et aggrave les ronflements et l’apnée du sommeil. Si vous souffrez d’allergies récurrentes, discutez avec votre médecin pour trouver un traitement adapté. Attention toutefois aux médicaments antihistaminiques, qui ont un effet sédatif et peuvent aggraver les apnées. Consulter notre fiche Rhinite allergique pour en savoir plus.
Mesures pour prévenir les complications
L’apnée du sommeil est une affection potentiellement grave qu’il faut prendre au sérieux. En plus d’essayer de perdre quelques kilos si vous êtes en surpoids, il est important de bien suivre les indications du médecin et de porter votre masque respiratoire toutes les nuits. Voir la section traitements.
Pour réduire le risque de complications cardiovasculaires, pratiquez également une activité physique régulière et suivez bien vos traitements contre l’hypertension ou le diabète.
Les traitements médicaux et approches complémentaires
Traitements médicaux
À ce jour, il n’existe pas de médicaments permettant de soigner l’apnée du sommeil. Cependant, des traitements mécaniques très efficaces existent :
- Traitement par ventilation à pression positive continue (PPC ou CPAP). Il s’agit du traitement de choix de l’apnée du sommeil. Un appareil insuffle de l’air en continu par le nez, grâce à un masque que l’on porte la nuit. Plusieurs modèles d’appareils et de masques sont disponibles. Pour désigner cet appareil, le terme CPAP, qui vient de l’anglais « Continuous Positive Airway Pressure », est souvent utilisé. L’air insufflé permet de maintenir les voies respiratoires ouvertes en continu, ce qui supprime les apnées. Bien que ce traitement soit extrêmement efficace, il faut prendre le temps de s’habituer à dormir avec le masque. Cela peut paraître inconfortable au début, mais il faut être patient. La diminution des symptômes se fait sentir au bout de 4 à 6 semaines, à condition de porter le masque toutes les nuits. Ce traitement permet d’améliorer laqualité de vie, la vigilance et la mémoire des personnes atteintes, ainsi que de faire baisser la pression artérielle en cas d’hypertension associée ;
Selon l’Association pulmonaire du Québec, l’appareil et le masque coûtent de 1 500 $ à 2 200 $ et ne sont pas remboursables par le Régime de l'assurance maladie du Québec. Les coûts reliés au traitement sont toutefois admissibles au crédit d'impôt pour frais médicaux.
- Appareil buccal. Il s’agit d’une gouttière moulée par le dentiste que l’on porte la nuit, aussi appelée orthèse d’avancée mandibulaire. Elle maintient la mâchoire inférieure et la langue vers l'avant (quelques millimètres), ce qui facilite le passage de l’air. Ces appareils sont surtout réservés aux personnes présentant une apnée légère ou modérée. Ils sont moins efficaces que l’appareil de ventilation à pression positive continue, mais demandent moins d’efforts d’adaptation.
Médication
Bien qu’aucun médicament ne permette de supprimer l’apnée du sommeil, certains traitements peuvent aider à réduire les apnées en soignant la cause.
Ainsi, si les apnées sont dues à une rhinite allergique, des corticoïdes par voie nasale peuvent réduire le nombre d’apnées.
De même, chez les patients ayant un reflux gastro-oesophagien qui peut aggraver les apnées, la prise d’un médicament antireflux (de type omeprazole) aide à réduire les apnées.
Enfin, si la somnolence est très importante en journée malgré le traitement par PPC, des médicaments stimulants peuvent éventuellement être prescrits. Parlez-en avec votre médecin.Autres : la chirurgie
Dans certains cas, lorsque le traitement par ventilation CPAP ne fonctionne pas ou n’est pas bien toléré, une opération chirurgicale peut être envisagée.
Il existe plusieurs types d’opérations destinées à réduire les ronflements et les apnées. Cependant, leur efficacité est relativement faible et les apnées ont tendance à réapparaître quelque temps après l’intervention. Il n’existe pas suffisamment de données probantes pour recommander ces interventions aux personnes présentant une apnée du sommeil légère à modérée.
- Uvulo-palato-pharyngoplastie (UPPP). Cette opération consiste à enlever la luette et une partie du palais mou, qui vibrent lors du ronflement, de manière à dégager les voies respiratoires et faciliter le passage de l’air. Elle est réalisée sous anesthésie générale. Elle est efficace pour réduire le ronflement, mais n’empêche pas la gorge de s’affaisser. Elle n’est efficace sur les apnées que dans 50 % des cas ;
- Amygdalectomie et adénoïdectomie. Ces interventions consistent à enlever par chirurgie les amygdales et les végétations adénoïdes, des ganglions situés dans la gorge. S’ils sont très enflés, ce qui arrive souvent chez les enfants, ils peuvent gêner le passage de l’air et entraîner des apnées. Cette opération est surtout proposée en cas de syndrome d’apnées obstructives du sommeil chez l’enfant ;
- Chirurgie du nez et des sinus. Elle est utile si les apnées sont liées à une anomalie de la cloison nasale ou des sinus qui gêne la respiration ;
- Trachéotomie. Cette opération « radicale » est réservée aux personnes ayant des apnées très graves et chez qui la ventilation CPAP n’est pas efficace. Elle est donc très rarement proposée. Elle consiste à créer une ouverture dans la trachée, en dessous de la gorge. Ce « trou » permet à l’air d’entrer dans les poumons sans passer par la gorge pendant la nuit. Il peut être bouché la journée pour reprendre une respiration normale ;
- Chirurgie pour la perte de poids. Lorsque l’apnée du sommeil est due à une obésité importante, le fait du perdre du poids permet d’agir efficacement sur les apnées. La chirurgie bariatrique, réservée aux obésités graves, permet de réduire la gravité des apnées7.
Pour en savoir plus, consulter notre fiche Obésité.Approches complémentaires
D’après nos recherches dans la littérature scientifique, il n’existe pas d’approche complémentaire validée pour traiter l’apnée du sommeil.
Références
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Bibliographie
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3. D. Rodenstein. Apnées du sommeil et anesthésie. Revue des Maladies Respiratoires, Vol 23, N° HS2 – juin 2005, pp. 17-19.
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